Plus de 14 millions de chats sont recensés dans l’Hexagone et la grande majorité de ces félidés domestiques sont adoptés par les familles. Toutefois, un tel acte nécessite une bonne réflexion car ceci suppose de respecter certaines responsabilités.
Prévoir un équipement spécifique pour son chat
L’une des premières responsabilités d’un propriétaire de chaton est de procéder à l’acquisition d’équipements nécessaires pour l’animal. Avant son arrivée, vous devez acheter entre-autres une gamelle de bonne taille pour contenir de la nourriture pour un chaton , selon sa race et son âge. De plus, pensez à acheter un bac qui servira de couchage, une litière, des jouets et une boite de transport.
Sachez qu’il existe une multitude de modèles de ces produits sur le marché. Il vous revient de choisir en fonction des particularités de votre chat. Par ailleurs, il faut aussi une fontaine à eau, un arbre à chat, une brosse, un coupe-griffe et un collier.
Faire des visites chez le vétérinaire
En tant que propriétaire de chat, vous êtes tenus d’avoir un regard attentif sur la santé de votre animal. Cette tâche requiert de planifier des visites fréquentes chez le vétérinaire. La première visite doit se faire à partir de l’âge de 2 mois pour effectuer la primo-vaccination. Elle se révèle opportune pour vérifier l’état général du chat. Une seconde visite est recommandée 1 mois après la première pour protéger le chat de certaines maladies virales.
Dans certains cas, il faut envisager une prise de sang pour vérifier le statut Fiv-Felv négatif ou positif du chat. Il s’agit de repérer la présence éventuelle de germes de maladies virales qui se transmettent entre les chats par la salive, les griffures ou morsures. Par ailleurs, il est obligatoire de faire une identification par puce électronique. Enfin, vous devez prévoir un vermifuge afin de lutter contre les vers plats et ronds.
Bien traiter son chaton
La maltraitance des animaux de compagnie, en l’occurrence des chats, est punie par la loi. Il apparaît obligatoire de soigner et de nourrir son animal à quatre pattes en lui offrant un bon toit et un excellent couchage. En cas de mauvais traitement, vous devez payer une amende de 750 euros et 450 000 euros (cas d’actes de cruauté).